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portrait jean paul barry

mon histoire

Jean-Paul BARRY est un voyageur parmi les hommes. Il observe le monde et comment les gens fonctionnent ensemble : à 17 ans, il travaille comme manutentionnaire et facteur, afin de financer des voyages avec son sac à dos au Pérou, Bolivie, Kenya, Népal. Il apprend ainsi au sein d’une tribu Massaï leur art de vivre comme guerrier, chez les népalais leur stratégie du vivre ensemble en haute montagne, chez les péruviens comment survivre avec aucune richesse. Rien ne le disposait à être économiste, diplômé de l’Institut d’Administration des Entreprises d’Aix-en-Provence, ni expert en sciences du comportement, ni non plus à occuper des postes de Direction au sein de multinationales où sa passion de l’humain s'est nourrie d’une quinzaine d’années de pratique du management. Il postule de confiance ensuite depuis 18 ans comme conseillé et coach indépendant auprès de Dirigeants et de Décideurs de 1er plan, et aussi auprès d'acteurs privés du quotidien de la vie sociale , est auteur conférencier, et il pilote toujours de belles aventures humaines au sein de pme/tpe où il a su investir.

"L'apocalypse de l'invisible" est son 1er ouvrage écrit en 2015. 6  années de recherche et études en neurosciences et psychanalyse le transforment définitivement en profileur professionnel. Il est le fondateur en 2014 de l'Institut de recherche en Sciences du comportement HCBC et de la Fédération Française d'Hyperconscience.

Après cette 1ere publication, il écrit pour partager ses outils à succès "Réussir la conduite de vos stratégies : 22 leçons de pilotage", un véritable Art de la guerre des temps modernes, puis "Le postulat de Confiance" : plus qu’une méthode, un art de vivre la vie sociale de chaque jour. Son apport fondamental aux sciences du comportement appliquées à l'équation sociale est que chacun a la possibilité d’agir pour que le postulat de confiance soit avéré. C’est le gage de tout succès, source de tous les bonheurs, et la meilleure voie pour réaliser ses rêves. Il a publié chez Bookboon Editeurs en 2013 "Accroitre son influence" en 3 opus où il est enseigné comment sublimer l’expérience de confiance pour que vous soyez le guide charismatique que tous souhaitent que vous deveniez.

Il est en train d'écrire le second volet de son roman "L'apocalypse de l'invisible" écrit il y a 9 ans déjà.

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Ma réflexion de chaque jour depuis presque ma naissance est qu’il est mieux d’arpenter le chemin plutôt que de l’imaginer et le laisser en état de rêve ou de potentialité. Ces bateaux à voile de mes aïeux qui faisaient le tour du Monde, en Indochine, sous les Tropiques, étaient des chants merveilleux à mes oreilles d'enfant, autant d’histoires que je voulais aussi vivre un jour plus que de les conter….Mon parcours d'homme saura certainement vous montrer qu'oser est à la portée de tous et dans beaucoup de domaines, et il s'accompagnera toujours du postulat de confiance.

 

L’enfant rebelle Issu des quartiers nord de Marseille…TOUT PETIT, il fallait rester petit....

 

  • Oser reprendre mes études et sortir "des quartiers" et "aller à la ville" comme on dit

chez nous , envers et contre tout, et surtout, avec le sourire et la légèreté d’âme....

A 13 ans, l’agent d’orientation du collège fut une opportunité pour me lancer dans

mon combat contre l'injuste : "qu’est ce qu’il veut faire le petit" dit avec mépris à

mes parents après avoir demandé la profession de mon père, si discret, si gentil qu'il

s'effaçait malgré son potentiel énorme, tout en poursuivant dans son entreprise de

démolition sous mes yeux hébétés, voulant montrer qu'il connaissait son job en

dissuadant mes parents  à me faire aller plus loin qu'un bac, un bac technique

permettant de travailler tout de suite : je voulais alors faire de la bio chimie, et il créa une alchimie en moi catalysant ma volonté de lui démontrer l'inverse… 

  •  Oser la musique! À oui, toute la musique, celle de la vie, symbolisée par celle de cette guitare que ma cousine m’avait prêtée et qui compensait l’à priori d’échec ou de fantaisie que craignaient mes parents. Comment le « petit » pourrait il être doué?  Ce qui plus tard devint de la part de ma tante, la soeur de ma mère, «  et même Jean-Paul il a eu son bac! » tonnant aux oreilles attristées de ma même cousine ayant raté le sien comme une descente aux enfers, le fils de ma mère qui lui avait servi de Cendrillon ne pouvant pas être mieux que sa propre progéniture! Oser la musique, ce fut finalement aller jusqu'à la création de mon groupe de rock à Marseille, à l’âge de 16 ans, avec un batteur qui était clarinettiste, un chanteur qui jouait un peu de la guitare, un bassiste qui n’avait jamais touché un instrument, et moi. Moi, comme moteur, les yeux brillant de générosité, et braillant la joie du devenir heureux, ensemble, pour jouer et commencer à marcher sur notre chemin de vie. Conclusion : en deux ans nous avions un impressario, des concerts dont une date avec plus de 1000 spectateurs et un traceur lumineux qui me suivait partout, un contrat avec une chaine de télé régionale et 3 morceaux de musique enregistrés en studio professionnel de 36 pistes!

  • Oser mon 1er voyage... j’ai commencé très tôt et c’est ce que j’aime partager avec les plus jeunes, comme avec ceux qui sont dans leur propre piège d’ivoire. Tout est à juste place sauf si c’est la peur qui détermine vos choix et transforme votre destiné en gisants …. 1982, mes 18 ans en poche depuis quelques jours,  je pars, après avoir travaillé 2 mois à la Poste, au Pérou et en Bolivie. Le chemin des incas, les lignes de Nazca me faisaient rêver depuis mes lectures d’enfant ;  dès que le clocher de mes 18 ans aurait fait teinter sa cloche, je partirai! Puis ensuite, la magie des voyages opérant, ce fut l'année d'après un voyage au Népal, puis au Kenya et en Tanzanie, puis l'Indonésie, etc….J'ai cette passion du voyage et des rencontres avec des hommes et femmes d'autres civilisations que j'adore partager.

 

Sortir du rang et casser les codes : j’ai grandi en m’amusant beaucoup à grandir

Pour vivre heureux, nous dit on, il faut être conforme aux attentes des autres....pas d'accord!

Pour moi.

  • Oser être en rupture avec les codes sociaux , les non dits, et les à priori, ces armures qui

défendent les portes de la médiocrité, et du confort sociétal offert par un monde qui ne connait

la résilience que dans ses propres

chasses gardées….masqué si possible, transparent, et obéissant c’est mieux, et surtout ne pas

manifester! 

 

  • On m’avait dit «  te poses pas de questions » et restes à ta place, ne fais pas d’études, ça ne te servira à rien : j'ai osé obtenir non pas une mais deux Maitrises de Sciences Economique, puis un 3ème cycle doctoral de management à l’I.A.E. d’Aix en Provence.  

  • Oser accepter une mission de réorganisation informatique du bureau exécutif permanent du Comite régional de gestion de l’espace aérien Sud-Est, et réussir cette mission avec comme récompense des lettres de recommandations pour m’ouvrir les portes de l'Institut d'Administration des Entreprises d'Aix en Provence, université d'excellence en cycle doctoral que je n’aurai jamais dû pouvoir ouvrir au regard de ma position sociale initiale, fils de facteur et fier de l’être.

 

  • Oser fonder une famille et avoir des enfants, c'est un choix osé que j'ai fait en en ayant 3 et heureux de les avoir vu grandir au quotidien. Ca, c'est un vrai choix!

  • Puis oser le big bang et prendre à 25 ans un poste d’Acheteur National dans l’une des plus grosses centrales d’achat de la Grande Distribution et négocier avec succès avec des Directeurs généraux et commerciaux du double de mon âge, à la tête de sociétés comme Schweppes, Heineken et bien d’autres. En tant qu'ancien grand timide, j'osais regarder dans les yeux plusieurs très grands patrons, multimilliardaires et fondateurs de leurs entreprises comme Paul-Louis Halley ou Jean-Pierre Le Roc et discuter dès l'âge de 25 ans avec eux d'égal à égal. Puis j'osais continuer mon ascension fulgurante vers les postes de pouvoir que je redoutais tellement, vu d'en-bas, pour à 28 ans, être patron d'une filière de 370 millions d'euros et mener à bien en parallèle une action avec une ONG : envoyer de France et par la mer évidemment, après l'avoir équipée en hôpital flottant, une péniche au Bangladesh.

  • Toute ma carrière a été construite sur ce moteur interne qui m’animait : oser et entreprendre! Avoir une trajectoire d’un seul jet de 15 années m’amenant avec succès à la tête des plus importantes entreprises à dimension internationale du commerce et de la grande distribution, puis ensuite connaitre la Direction de Pme/Tpe, à mon compte ou pour certains de mes clients, est la meilleure preuve que le fait d'oser est la meilleure des voies..

Jusqu’au jour où la rencontre avec le monde de la finance me fit faillir…ET Je me suis retrouve libre!

Lilles 15 années plus tard dans ma carrière professionnelle - Le Big Crunch… Je participe

activement à la revente comme pilote de la stratégie et patron de plus du tiers de la marge

bénéficiaire du groupe Castorama, à Kingfisher, 1er acteur européen et 3ème mondial.

Mes valeurs humaines en sont tellement affectées que je prends 25 kilogrammes en un an,

mettant un sacré pavé dans la marre de winner au grand coeur que j'étais, cadre de l’année

France en 2002 aux résultats hors du commun. J’avais même deux ans avant cela fait

exploser le système de prime comme Directeur d’hypermarché de l’Enseigne et obtenu un

salaire sur 18 mois au lieu de 15 normalement atteignables, et avec des équipes heureuses,

des perspectives de croissance retrouvées, et le bonheur dans le pré du jardin que

je partageais avec chacun de mes compagnons de voyage : mes collaborateurs.

« 300 ke de stock option, Jean-paul et 20 % d’augmentation de salaire si ...je me dois de rester discret, désolé.. . » et bien non! Mon honnêteté intellectuelle ne s’achète pas, Monsieur!

 

Je fus là heureux d’avoir participé à la transmission d’une société majeure, la plus grosse opération de rachat sur ce secteur jusqu’à ce jour, en ayant néanmoins un petit gout d’amertume pour n'avoir pas pu lutter contre le dictat financier, car je crois que l'on peut toujours faire mieux et avec moins de casse humaine si l'appétit d'argent se modère.

 

Puis j’ai quitté  ce monde…il faut Oser tout en restant soi même et garder ses valeurs!

« Quand tu auras désappris à espérer, je t’apprendrais à vouloir » Sénèque.

 

Je négocie à 38 ans mon départ , difficilement car personne ne le souhaitait à part moi, 

puis s'ensuit une remise en question à 360°, et suis chassé

afin de reconstruire les services centraux d’une enseigne de 500 points de vente.

Mais j’avais fait le tour de la question et ce monde où la place de l’homme n’est

valorisable que si un intérêt économique en ressort transformait le mot « oser » en

« broyer ».

 

Suis je valable, encore valable ou suis-je valorisable?  Oser, c’est définitivement être

valorisable.

 

  • Oser écrire mon premier roman en 2015, une fiction prémonitoire d’un avenir désormais proche, 2030, et me heurte à l’anonymat ; dans les grandes maisons d’édition, le manuscrit n’est pas encore sorti de son enveloppe que je reçois déjà les courriers de refus de prise en compte. Et oui, il faut garantir à la maison d’édition un minimum de vente pour qu’elle accepte! Vous êtes N’pape, ou la femme de François Hollande, ou provocateur de scandale, pas de soucis, même si vous ne savez pas écrire ou que vous n’avez rien à dire. Promettez à quelqu’un d’apprendre 6 langues en 30 jours par la méthode incluse dans le livre, et là vous serez publié!

 

  • Et un "faux" pas :  créer, en pensant oser, ma propre société de conseils et organisme de formation. Cela m’a demandé beaucoup d'investissement en énergie et pris beaucoup de temps ; cela me permettait de gagner ma vie en m’appuyant sur mes acquis, valorisant ainsi mon égo flatté d'aider des dirigeants, des actionnaires et fonds d'investissement de haut vol. C'était un but que je trouvais dès le départ non structurant pour ma destinée et qui a eu néanmoins un impact sur celle ci : je ne fais plus que du coaching en développement personnel désormais et m'éloigne des personnalités et programmes nocifs ! J’ai envie de vous dire ici que se battre, c’est être vivant et transcender nos capacités à être, sauf si le combat est collectivement illégitime et humainement appauvrissant.

 

  • Oser monter une grosse entreprise sur le DIY en Algérie, France et Russie, et oser prendre un café dans un palace à Genève à 55 euros le café avec un milliardaire prêt à financer mon projet!

 

  • Oser la cuisine! Osez ! il n'y a rien de mieux! Je rachetai à 39 ans un haut lieu de la gastronomie provençale historique dans le Var et à 44 ans, je devins « par hasard » chef cuisinier….pas possible, vous dira-t-on ...., et bien j’ai réalisé, après seulement 3 mois à apprendre le métier auprès d’un jeune chef type TopChef, des mariages réussis de 200 personnes, des banquets pour l’UPV du Var, des buffets gastronomiques façon traiteur dans mon  modeste Hôtel Restaurant - capacité d’accueil néanmoins de plus de 300 personnes -  que j’avais acheté après avoir quitter ma vie d’avant en multinationales. Cela m'a fait penser à Ratatouille et mon esprit de Marseillais prêt à relever toute contradiction et jugement à priori m’a donné raison!

« Les petits combats…. Chaque instant gagne sa place sur celui d’avant et ose s’exhiber avec courage et fierté : devenir grand ou être seulement grand.» Jean-Paul Barry.

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